Parrainages

Aide à la scolarité :  


Parrainages pour la scolarité des enfants les plus pauvres

L'ASEDEA  assume 50 % des frais de scolarité de 75 enfants, 61 sont à ‘’l’école mission’’ de Tchirozérine 13 au collège ‘’La Grâce’’ et un à la chambre des métiers.  ‘’ l’école mission’’ est une école privée  (du CP au CM2) très connue au Niger, d'où sont sortis nombre de gens éminents du Niger dans  les années 1970-2000, une école soutenue pendant 20 ans par le "CCFD Terre solidaire". Le collège ‘’la Grâce’’ est également un établissement privé de Tchirozérine. L’autre moitié des frais de scolarité est prise en charge par les familles.  

Pour assumer cette charge financière au profit de la scolarisation l’association propose des parrainages (reçu fiscal), ou des dons ainsi que 2 fois par an une après midi ou soirée théâtre.

A savoir qu’au Niger, une année scolaire en école privée primaire coûte 130 € à 140 € , environ 180 € au collège.
L’école primaire compte aujourd'hui 385 élèves dont 210 garçons et 175 filles  du CI au CM2 répartis dans six (6) classes encadrés par six enseignants et un directeur déchargé.
Bien sûr l'ASEDEA souhaiterait trouver d'autres marraines et parrains

Pour devenir parrain/marraine il suffit d'écrire à la Présidente de l'association catherinecozon@yahoo.fr.    Tel : 09 50 10 83 65 / 06 29 33 45 58    
http://apas-niger.blogspot.com   
                   
L'ASEDEA soutient depuis deux ans l'école de Kerboubou où il  y a 2 coopératives : celle des femmes qui font la broderie sur bazin, et celle des hommes (travail du doum en points noués). Nos liens avec Alhousseini dit "Anketil",  responsable de la coopérative des hommes depuis plus de 30 ans  sont très forts. C'est un homme formidable.


Quant à la coopérative des femmes de Kerboubou, n'oublions pas qu'elle est la plus ancienne, née bien avant la création de l'APAS - devenue ASEDEA -  car c'est en 1970  que la communauté des « Petites sœurs du Père de Foucauld » s’installe auprès des femmes Targui, transformées en chevrières itinérantes, cheminant au gré des rares touffes d’herbes après la saison des pluies. En 1976 et les années suivantes les grandes sècheresses se succèdent un bétail décimé, le seul moyen d’existence perdu... C'est ainsi que les petites sœurs apprennent aux femmes le travail de broderie...  pour survivre..